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Gérard Bailly et les grands prédateurs

Celui qui est également chargé par la commission des Affaires économiques d’un rapport national sur l’élevage ovin vient d’interpeller le gouvernement sur « le coût du maintien des prédateurs tels que le loup, l’ours ou le lynx dans nos montagnes » en invoquant « les 400 moutons qui, en Savoie, se sont jetés dans un ravin, effrayés par les loups et la première attaque qui vient d’avoir lieu dans le Jura, provoquant la mort de 23 agneaux ». « Événements qui suscitent le découragement, l’incompréhension et le désarroi des éleveurs ovins » a plaidé Gérard Bailly.
Pour le ministre Dominique Bussereau, « ces grands carnivores sont protégés par la Convention de Berne et par des directives communautaires et nationales (…). La protection ou la restauration de ces espèces répond aux obligations internationales de la France et à ses engagements en faveur de la biodiversité ». Selon lui, le dispositif d’État en leur faveur « a coûté environ 6,3 millions d’euros en 2006, dont 30 % dans les Pyrénées et 70 % dans l’arc alpin. L’indemnisation des dégâts représente 13 % ».
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Gérard Bailly

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Commentaires sur l’article « Gérard Bailly et les grands prédateurs »

1 réponse

  1. c’est un vrai plaisir de venir vous lire en ce moment vu mes problèmes de PC, je vous souhaite un bon week-end à très bientôt amitiés

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