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Le Grand Charnier pris une nouvelle fois en « flagrant délire »

Souvenez-vous, le 16 mai 2011, à Gryon en Suisse, un troupeau de bovins avait subi l’attaque d’un prédateur non identifié.

Immédiatement, les clowns du Grand Charnier – et leurs clones de la F.A.R.ce – avaient crié au loup, avançant une théorie digne de Garcimore :

Ce monsieur [le garde-chasse Suisse] devrait savoir que le loup lorsqu’il attaque des animaux de taille importante essaie de couper les tendons des pattes arrières de ceux-ci afin de les immobiliser et de les faire tomber. Briser les os est une autre affaire ! De plus les griffures sur le dos est un signe caractéristique d’une attaque de loup. Ces blessures ne sont pas le fait des griffes mais des canines du prédateur qui essaie de déchirer le cuir de l’animal. Comme pour certaines personnes « présumées innocente » attendons le résultat des analyses ADN. Mais la responsabilité du loup nous semble bien engagée.

Deux courants de pensée doivent s’affronter au sein du G.C. : le premier étant les adeptes de la propagande anti-loup digne d’un Goebbels. Le second représente les néo-ruraux, mal dans leurs bottes et leur tête, en décalage complet avec la Nature et sa biodiversité.
Il semble que les « frontières » entre ces 2 courants soient perméables.

Ci-dessous, un article de La Tribune de Genève disculpant le loup pour l’attaque du troupeau.

association Le Klan du Loup

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Robert Grobet, président du Grand Charnier

Vaches attaquées à Gryon : c’était un chien, pas un loup

« Nous avons reçu le résultat de l’analyse génétique: on a crié au loup, c’était un chien », a indiqué lundi à l’ATS Sébastien Sachot, conservateur de la faune et de la nature du canton de Vaud. Les échantillons étaient de bonne qualité.

L’agriculteur ne sera pas indemnisé

Le canton a financé l’analyse avec la Confédération afin de savoir s’il s’agissait d’un grand carnivore. Ce n’est pas le cas. L’agriculteur ne sera donc pas indemnisé pour la perte de son bovin. A lui de décider s’il veut engager à ses frais des analyses pour identifier le chien responsable de l’attaque, a relevé M.Sachot.

Génisse euthanasiée

Le 18 mai dernier, une génisse avait été découverte mordue à l’oreille et au jarret ainsi que le dos griffé après avoir passé la nuit dans une étable. Son arrière-train étant touché, elle avait dû être euthanasiée. Les deux chiens du propriétaire avaient été retrouvés emmêlés dans leur laisse.

Trois pièges photos avaient été installés à l’extérieur et à l’intérieur de l’étable. Ils n’ont pas permis de découvrir le coupable.

Source : la Tribune de Genève

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