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Les cons ça ose tout…

« Les cons ça ose tout, et c’est même à ça qu’on les reconnait. »

En effet, les deux loups signalés en Valais (Suisse) pourront être abattus.

La commission intercantonale chargée de la gestion du prédateur a transmis son rapport aux autorités valaisannes: celles-ci ont ordonné le tir des deux bêtes au Val d’Illiez et au Val des Dix, indique le canton.

Suite aux prédations intervenues depuis le printemps dans le Chablais valaisan et l’attaque du week-end dernier dans le Val des Dix, la commission intercantonale s’est réunie à Berne mardi. La réunion avait pour but de dresser un bilan des dégâts. Dans la nuit du 1er au 2 août, quinze moutons ont été tués ou mortellement blessés sur l’alpage d’Allèves dans le Val des Dix.

Commentaires sur l’article « Les cons ça ose tout… »

5 réponses

  1. Ce n’ est pas croyable, les lois sont baffouées en toute impunité, nous reculons chaque jours aux mépris de nos actions et de nos lettres aux ministres.Faudra – t ‘ il une grosse manif. sur Paris et se fâcher pour être entendus ?Pauvres loups, toujours le bouc émissaire des cons sans cervelle.Amicalement loup.Joce.

  2. De retour de vacances je viens vous saluer et vous souhaiter une très bonne soirée merci pour votre com en mon absence amitié

  3. Heureusement que certains sont plus raisonnables que d’autres et osent ouvrir les yeux…
    «Le Concept loup est mort»
    12 août 2009 – GILLES BERREAU  – Le Nouvelliste 
    POLéMIQUESecrétaire de l’association de défense contre les grands prédateurs, le Haut-Valaisan Jürgen Rohmeder estime que la Suisse ne doit plus protéger cet animal.

    Après les trois ordres de tirs du loup décidés en Suisse, dont deux en Valais, l’association de défense contre les grands prédateurs, qui fête ses dix ans, estime que l’on assiste ni plus ni moins à la fin du beau projet de réintroduction du loup en Suisse. «De toute évidence, le retour du loup n’est pas possible», estime son secrétaire, Jürgen Rohmeder.
    «Après les méfaits du loup cet été, il est maintenant temps de procéder à un freinage d’urgence. Il faut que la Suisse dénonce la Convention de Berne protégeant strictement le loup. Le nombre de ces grands canidés explose désormais à travers le monde, au Canada, en Inde, en Sibérie. Son retour n’est plus une priorité chez nous. 120 ans après avoir supprimé les derniers prédateurs, leur réimplantation représente une intervention artificielle inadmissible.»
    Le loup de Ferret
    «C’est le retour du loup dans le val Ferret qui a été le déclencheur de la création de notre groupement en 1999. Ce dernier compte une soixantaine de membres, dont des éleveurs de moutons, en Valais, au Tessin, ainsi que dans divers cantons alémaniques. A l’époque, j’ai cru à un animal malade, avant de comprendre qu’il n’était pas revenu de lui-même. Et qu’il s’agissait d’un retour orchestré» se souvient Jürgen Rohmeder, de Bitsch.
    Membre fondateur de l’association avec un autre Haut-Valaisan, Hans-Peter Gsponer de Stalden, ce pharmacien à la retraite estime que la Suisse actuelle est incompatible avec le loup en liberté. «Un loup ne peut vivre dignement une existence normale chez nous, avec l’omniprésence de l’homme notamment.»
    «Coexistence impossible»
    Pour le secrétaire de l’association, «le conflit avec les éleveurs de moutons et de chèvres ne peut être résolu. Bien que constamment amélioré, le Concept loup et ses dépenses somptuaires est un échec en matière de coexistence.»
    Selon lui, cette réintroduction ratée a produit un sacré remue-ménage. «Le loup a produit des conflits entre le Conseil d’Etat valaisan et Moritz Leuenberger, les randonneurs et le WWF, les biologistes et les agriculteurs, la ville et la campagne.»
    Quant à la double requête du WWF de consacrer les subventions aux éleveurs respectant le Plan loup et d’exiger une meilleure protection des troupeaux, Jürgen Rohmeder estime «que ce n’est pas adéquat. Dépenser des millions pour quelques loups, ce n’est pas sérieux. Il faut aussi prendre en compte la douleur réelle des éleveurs et des bergers, surtout dans le Haut-Valais où les troupeaux sont plus petits.»
    Et Jürgen Rohmeder d’avertir: «Si le WWF dépose un recours contre les tirs autorisés ces dernières semaines, nous organiserons une manifestation à Berne, comme ce fut déjà le cas en 2003.» Avec à nouveau des moutons à nez noir parqués devant le Palais fédéral?

  4. Je veux quand meme vous signaler que ce n’est pas deux mais six loups qui occupe le téritoire du valais!! On à reçu l’ autorisation de Berne de tirer deux loup!Je peux vous dire que si cet animal devait se pointer avec quelques de ces amis, nous n’hésiteront pas à tous les tirer! Vous n’avez qu’as le garder chez vous en France, en Suisse il n’est pas bien venu, peux-être dans un zoo,là d’accord!!

  5. ta raison Yvon, faut massacrer tous les loup.La nature, ça nous fait chié !!!!!!!!!!

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